Par Amandine Nguyen, psychologue clinicienne du réseau Ma Vie en Mieux

En cette période inédite, le temps nous échappe, nous manque, nous ralentit, nous pèse…  Il devient d’autant plus important de nous recentrer sur notre organisation et nos liens. Avec des situations plus difficiles que d’autres qui peuvent nécessiter une invitation à la parole.

La période actuelle a comme caractéristique d’être extra-ordinaire, au sens où elle sort de l’ordinaire. Elle peut à ce titre brouiller nos repères de lecture de ce qui est normal et de ce qui ne l’est pas, tant dans nos comportements que dans ceux des autres.

Parce que chacun va réagir à sa façon, trouver le juste niveau d'attention à porter à l'autre n'est pas toujours évident.

  >> Lire l'article de Guillaume Gourvil, psychologue clinicien du réseau Ma Vie en Mieux

Par Guillaume Gourvil, psychologue clinicien du réseau Ma Vie en Mieux

La période actuelle a comme caractéristique d’être extra-ordinaire, au sens où elle sort de l’ordinaire. Elle peut à ce titre brouiller nos repères de lecture de ce qui est normal et de ce qui ne l’est pas, tant dans nos comportements que dans ceux des autres.

Le journal l’Equipe a publié cette semaine un article très intéressant sur les blessures des joueurs, en quoi leur environnement personnel et l’état psychologique dans lequel ils sont peuvent expliquer ces accidents de parcours : article accessible sur ce lien.

Une illustration très concrète et très visible de ce qu’il peut en coûter à une équipe et à ses membres quand l’un d’eux traverse une période difficile alors qu’on attend de lui une performance, une contribution décisive !

Par Guillaume Gourvil, psychologue clinicien du réseau Ma Vie en Mieux

L’addiction au travail concerne toute personne souffrant dans son estime de soi, et espérant trouver dans le travail les preuves de sa valeur et les gratifications qu’elle ne trouve pas dans sa vie personnelle. Elle se fuit elle-même, mais également sa vie de couple et sa vie de famille : pendant qu’on focalise son attention sur ce qu’on doit faire, on ne se demande pas ce qu’on a envie de faire.