Alors que la communication a joué un rôle primordial pour maintenir le lien pendant la période de confinement, tant en interne qu’avec les clients et partenaires des entreprises, son rôle s’annonce encore plus crucial pour amorcer une sortie de crise progressive et délicate.

Attention toutefois à ne pas commettre d’impairs et à respecter quelques principes fondamentaux.

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Par Nathalie Glorel, Consultante en communication

Alors que la communication a joué un rôle primordial pour maintenir le lien pendant la période de confinement, tant en interne qu’avec les clients et partenaires des entreprises, son rôle s’annonce encore plus crucial pour amorcer une sortie de crise progressive et délicate.

Attention toutefois à ne pas commettre d’impairs et à respecter quelques principes fondamentaux.

Par Amandine Nguyen, psychologue clinicienne du réseau Ma Vie en Mieux

En cette période inédite, le temps nous échappe, nous manque, nous ralentit, nous pèse…  Il devient d’autant plus important de nous recentrer sur notre organisation et nos liens. Avec des situations plus difficiles que d’autres qui peuvent nécessiter une invitation à la parole.

Les entreprises qui mesurent l’importance de soutenir leurs salariés en pleine crise du coronavirus pensent en premier lieu à mettre en place une hotline psy. Un service a priori louable mais qui a la particularité de ne s’adresser qu’à un nombre de personnes très réduit.

Décodage ci-dessous, fruit de 10 années consacrées à démocratiser l’accompagnement individuel des salariés !

La période actuelle a comme caractéristique d’être extra-ordinaire, au sens où elle sort de l’ordinaire. Elle peut à ce titre brouiller nos repères de lecture de ce qui est normal et de ce qui ne l’est pas, tant dans nos comportements que dans ceux des autres.

Parce que chacun va réagir à sa façon, trouver le juste niveau d'attention à porter à l'autre n'est pas toujours évident.

  >> Lire l'article de Guillaume Gourvil, psychologue clinicien du réseau Ma Vie en Mieux

Par Guillaume Gourvil, psychologue clinicien du réseau Ma Vie en Mieux

La période actuelle a comme caractéristique d’être extra-ordinaire, au sens où elle sort de l’ordinaire. Elle peut à ce titre brouiller nos repères de lecture de ce qui est normal et de ce qui ne l’est pas, tant dans nos comportements que dans ceux des autres.

L’actualité du COVID-19 se traduit pour de nombreux salariés par une mise en chômage partiel aussi soudaine qu’inattendue.

Le choc de cette nouvelle, ajouté à celui du confinement, peut affecter notre estime de soi et être générateur d’un mal-être plus ou moins profond. Regarder de plus près nos besoins de valorisation peut être un premier pas pour y répondre autrement et pouvoir aller mieux.

  >> Lire l'article de Sylvie Maingraud, coach certifiée du réseau Ma Vie en Mieux

par Sylvie Maingraud, coach certifiée et expert Ma Vie en Mieux 

L'actualité du COVID-19 se traduit pour de nombreux salariés par une mise en chômage partiel aussi soudaine qu'inattendue. Le choc de cette nouvelle, ajouté à celui du confinement, peut affecter notre estime de soi et être générateur d'un mal-être plus ou moins profond.

Regarder de plus près nos besoins de valorisation peut être un premier pas pour y répondre autrement et pouvoir aller mieux.
 

Les entreprises qui mesurent l’importance de soutenir leurs salariés en pleine crise du coronavirus pensent en premier lieu à mettre en place une hotline psy. Un service a priori louable mais qui a la particularité de ne s’adresser qu’à un nombre de personnes très réduit. Décodage ci-dessous, fruit de 10 années consacrées à démocratiser l’accompagnement individuel des salariés !
 

par Sarah Guillanneuf,  psychologue du réseau Ma Vie en Mieux

Le changement est là, partout, tout le temps. Chaque expérience, chaque rencontre nous transforment, et nous demandent de nous adapter.

Cependant, certains changements majeurs nous mettent en grande difficulté (deuil, déménagement, divorce, changement professionnel important, mariage, arrivé d'un bébé...) ... et cela est normal. Eclairage sur ce que nous en dit la neuropsychologie...